Pour vibrer à la sculpture,
il faut l’amour de la nature,
de la vie, de la passion,
le sens du tragique
de la condition humaine.
Léon Perrin, mars 1968
Pour vibrer à la sculpture,
il faut l’amour de la nature,
de la vie, de la passion,
le sens du tragique
de la condition humaine.
Léon Perrin, mars 1968